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  • L'Ordre des médecins défavorable à la participation des médecins à l'euthanasie
    le 1 avril 2023

    En cas de légalisation du suicide assisté, il demande une clause de conscience spécifique "qui pourrait être mise en exergue à tout moment de la procédure".

  • Misophonie: un adulte sur cinq souffre des bruits du quotidien, selon une étude britannique
    le 31 mars 2023

    Selon une récente étude menée par des chercheurs britanniques, un adulte sur cinq souffre de misophonie.

  • "On est écœurés": la colère de médecins face à la réintégration des soignants non-vaccinés contre le Covid-19
    le 31 mars 2023

    Jeudi, la Haute Autorité de santé a rendu un avis recommandant de "lever l'obligation de vaccination" des soignants contre le Covid-19. Le ministre de la Santé François Braun a indiqué qu'il suivrait cet avis.

  • Vaccins contre le Covid-19
    le 31 mars 2023
  • Pollens: 32 départements déjà placés en impact sanitaire "élevé"
    le 31 mars 2023

    L'arrivée des beaux jours favorise la dispersion des pollens, une dynamique qui s'accélère depuis plusieurs années avec la hausse des températures induite par le réchauffement climatique.

  • "Interdiction de filmer en consultation": ces soignants fatigués d'être enregistrés à leur insu
    le 31 mars 2023

    Avec l'essor des smartphones, il est de plus en plus fréquent que les soignants se retrouvent filmés ou enregistrés par leurs patients en consultation ou pendant des soins. Médecins, infirmières, aide-soignants et patients témoignent auprès de BFMTV.com de cette tendance qui commence à envahir leur pratique.

  • La recherche sur l'anorexie mentale avance
    le 31 mars 2023

    La 3ème semaine de la recherche en santé mentale s’achève. Un évènement organisé par la Fondation pour la recherche médicale, dont BFMTV est partenaire, destiné à mettre en lumière les nouveaux défis de la recherche. Parmi eux : mieux comprendre les mécanismes en jeu dans l’anorexie mentale, un trouble du comportement alimentaire essentiellement féminin qui apparait le plus souvent à l’adolescence. Il entraîne une privation alimentaire stricte et volontaire pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. L’anorexie est très souvent associée à des troubles psychologiques. Les chercheurs tentent de préciser les mécanismes impliqués dans l’émergence de ce trouble, ainsi que ses facteurs de risque et d’évolution. 

  • Les soignants non-vaccinés contre le Covid-19 vont être réintégrés
    le 31 mars 2023

    La Haute autorité de santé (HAS) a recommandé jeudi de "lever l'obligation de vaccination" contre le Covid pour les soignants et le ministre de la Santé François Braun a déclaré à l'AFP qu'il "suivra(it) cet avis". La HAS suggère désormais que l'injection soit seulement "fortement recommandée" pour les professionnels concernés.

  • Pass sanitaire et pass vaccinal
    le 30 mars 2023

    Instauré en France en juin 2021 pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, le pass sanitaire est devenu un sésame indispensable pour accéder à certains établissements recevant du public comme les restaurants, les salles de spectacles, les salles de sports ou encore pour réaliser des déplacements de longue distance en transports en commun (vols intérieurs, trajets en TGV, Intercités et trains de nuit, cars interrégionaux). Pour obtenir un pass sanitaire, il fallait initialement remplir l'un des trois critères suivants: bénéficier d'un schéma vaccinal complet ; disposer d'un test négatif récent - désormais de moins de 24 heures ; avoir été contaminé par le Covid-19 il y a au moins 11 jours et moins de 6 mois Depuis le 15 décembre 2021, les règles du pass sanitaire ont évolué pour les personnes âgées de 65 ans et plus, ainsi que les personnes vaccinées avec le vaccin monodose Jannsen. Pour conserver un pass sanitaire valide via la vaccination, ces personnes doivent avoir reçu une dose de rappel quand ils y sont éligibles. Cette règle concernera tous les adultes à partir du 15 janvier 2022. Ce pass sanitaire doit devenir début 2022 un "pass vaccinal", qui ne pourra être activé qu'avec un schéma vaccinal complet et non plus un simple test négatif, a annoncé le Premier ministre Jean Castex mi-décembre. "Désormais seule la vaccination sera valable dans le pass", a insisté le chef du gouvernement à l'issue d'un conseil de défense sanitaire. "Il n'est pas admissible que le refus de quelques millions de Français de se faire vacciner mette en risque la vie de tout un pays et entame le quotidien d'une immense majorité de Français qui a joué le jeu depuis le début de cette crise", a martelé le chef du gouvernement. Le projet de loi dédié à ce "pass vaccinal" devrait être examiné en Conseil des ministres le 5 janvier, puis débattu dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale à partir du lundi 10 janvier, avant d'être transmis au Sénat. L'exécutif espère son adoption d'ici fin janvier pour une entrée en vigueur "dans la foulée", selon Gabriel Attal. En parallèle, le gouvernement envisage d'étendre le pass sanitaire à toutes les entreprises - au-delà des secteurs de la santé et au contact du public comme c'est le cas aujourd'hui. Une initiative qui suscite la colère des oppositions, qui dénoncent un dispositif "inefficace", trop tardif, ou "punitif". Ce pass sanitaire se heurte à la problématique des trafics. Les forces de l'ordre ont mis au jour un total de 182.000 faux pass sanitaires depuis l'instauration du dispositif cet été, dans le cadre de 400 enquêtes, selon un nouveau bilan dressé fin décembre par le ministère de l'Intérieur. Face à la multiplication des faux pass sanitaires, police et gendarmerie ont renforcé leurs investigations numériques et répertorié d'autres modes opératoires, dont l'achat de faux certificats de vaccination sur internet et l'usage frauduleux d'un QR code attribué à un tiers. Les autorités traquent aussi les professionnels de santé ou agents administratifs qui fournissent de faux pass.

  • Covid: la Haute Autorité de Santé préconise la levée de l'obligation vaccinale pour les soignants
    le 30 mars 2023

    La Haute Autorité de Santé vient d'annoncer qu'elle préconisait la levée d'une obligation vaccinale pour les soignants sans remettre en question l'intérêt de cette vaccination. Le gouvernement pourrait suivre cet avis. 

  • Covid-19: la Haute Autorité de santé recommande de lever l'obligation vaccinale des soignants
    le 30 mars 2023

    Le gouvernement, à qui revient la décision finale, suit habituellement les recommandations de la HAS. L'obligation vaccinale contre le Covid-19 est en vigueur depuis septembre 2021.

  • Covid-19: où en est l'épidémie en France?
    le 30 mars 2023

    Face la pandémie de Covid-19, l'exécutif a expérimenté plusieurs stratégies en fonction de la situation sanitaire sur le territoire. En France comme dans d'autres pays européens, les chiffres sont surveillés au quotidien pour anticiper les rebonds épidémiques et éviter une catastrophe hospitalière : nombre de cas, taux d'incidence, taux de reproduction (ou R), nombre de morts. La courbe du nombre de personnes en réanimation inquiète chaque fois qu'elle atteint de nouveaux seuils. Après le confinement strict de la première vague, de nouvelles mesures sanitaires ont été prises alternativement : confinements partiels, couvre-feu, restrictions de déplacement, port du masque obligatoire, fermeture des restaurants, commerces, écoles, lieux culturels... La deuxième et la troisième vague seront-elles suivies d'une quatrième ? La vigilance est renforcée tandis que le nombre de contaminations augmente. Les Français, dont la vie quotidienne est bouleversée, suivent chaque allocution du président de la République et chaque conférence de presse du Premier ministre, diffusées en direct sur BFMTV. La maladie Covid-19, provoquée par le coronavirus SARS-CoV-2 (acronyme de severe acute respiratory syndrome coronavirus 2), est à l'origine de la plus importante pandémie mondiale depuis un siècle. Apparu en 2019, ce nouveau virus a d'abord sévi en Chine avant de se propager partout à travers le monde. Provoquant notamment des symptômes respiratoires pouvant être très graves, il a rapidement entraîné une saturation des services de réanimation des hôpitaux. Pour éviter de recourir au tri des patients et freiner le nombre de décès, la plupart des gouvernements ont été contraints de prendre des mesures radicales et de mettre des régions en quarantaine. En France, le confinement a été décrété le 17 mars 2020 par le président Emmanuel Macron, quelques semaines après l'Italie et l'Espagne, également très touchés par l'épidémie. L'OMS a déclaré l'état de pandémie le 11 mars 2020. L'arrivée d'une deuxième vague puis d'une troisième vague en 2021 contraignent régulièrement le gouvernement à prendre de nouvelles mesures. Alors que la vaccination tarde, le virus mute et certains variants semblent plus contagieux ou plus résistants. Une course contre la montre s'engage pour endiguer l'épidémie sans mettre l'économie à l'arrêt.

  • Voici docteur Snoopy, le chien qui accompagne les malades de l'Institut Curie
    le 30 mars 2023

    Il n'a pas fait dix années de médecine et n'a pas de blouse blanche, mais il est devenu en quelques semaines la mascotte de l'Institut Curie. Le chien Snoopy, un setter anglais, a été "embauché" en fin d'année 2022 dans cet hôpital parisien spécialisé dans le traitement des cancers. Intitulé du poste: chien de médiation. Objectif: détendre les patients en salle d’attente ou en consultation, en particulier ceux qui ont du mal à communiquer. Il était l'invité ce jeudi matin de "Première Edition".

  • Pourquoi des chirurgiens esthétiques veulent l'interdiction de la vente libre d'acide hyaluronique
    le 30 mars 2023

    A travers cette interdiction, les médecins veulent contrôler ou au moins réguler la pratique des injections illégales, en plein essor, qui peut faire des dégâts irréversibles sur les patients.

  • "C'est un peu magique": Docteur Snoopy, le chien qui accompagne les malades de l'Institut Curie
    le 30 mars 2023

    Depuis mi-décembre, le chien Snoopy ère dans les couloirs de l'Institut Curie pour détendre les patients en salle d'attente ou en consultation. Une première en France.